Vous craignez que votre compagnon à 4 pattes souffre un jour de problèmes digestifs ? Ces désordres ne sont malheureusement pas sans conséquences sur sa qualité de vie. Restez attentif au moindre signe d’inconfort et, encore mieux, prenez les devants en suivant ces 9 conseils.
Évidemment, chaque chien est unique et exprime son mal-être différemment. Mais certains signes peuvent vous mettre la puce à l’oreille :
Vous observez un ou plusieurs de ces signes ? Consultez votre vétérinaire pour évaluer l’état de santé de votre compagnon.
Si c’est un must pour les chiots et les chiennes allaitantes, fractionner les repas est aussi recommandé pour les autres chiens, surtout s’ils sont très actifs ou de petite taille. Notre conseil ? Servir au moins une partie de la ration le matin et l’autre le soir pour faciliter la digestion et éviter la sensation de faim.
Certains chiens, de grande taille le plus souvent, sont particulièrement sensibles aux ballonnements et troubles intestinaux. Les causes sont multiples et ne peuvent pas toutes être contrôlées mais des précautions peuvent être prises pour réduire le risque de dilatation-torsion de l’estomac par exemple. Parmi elles : la réduction de l’activité physique au moins 1h avant et après les repas.
Il y a des chiens, c’est vrai, qui sont capables de s’auto-réguler. Mais la plupart ont plutôt tendance à se suralimenter si vous leur en donner l’occasion. Pour éviter le surpoids ou l’obésité, pensez à bien peser la ration de votre compagnon.
En plus d’encourager votre loulou à grignoter toute la journée – et donc à puiser dans ses réserves pour digérer –, lui laisser libre accès à sa gamelle augmente le risque de protection de ressources. En d’autres termes : il a plus de chances de « défendre » sa nourriture.
Il ne mange pas d’une traite ? Présentez-lui sa gamelle plusieurs fois ou rendez le repas plus « fun », en lui proposant par exemple un jouet distributeur de croquettes.
On vient de le dire : pas question de laisser votre poilu décider de quand il mange. Au contraire, plus son rythme est constitué d’habitudes, plus il est rassuré. Donnez-lui plutôt ses repas à heures fixes pour :
Une assiette est une assiette ? Pas pour votre chien ! Selon son comportement, certaines gamelles sont plus adaptées que d’autres pour faciliter sa digestion. Ceux qui ont l’habitude de se ruer sur leur nourriture, par exemple, ont tout intérêt à manger dans une gamelle anti-glouton. Quant aux grands chiens, particulièrement sensibles au syndrome de torsion de l’estomac, mieux vaut éviter de leur proposer une gamelle surélevée.
Saviez-vous que la gamelle de votre chien est l’un des 4 objets les plus sales de votre maison ? C’est la conclusion d’une étude menée par la NSF, un organisme de santé publique américain. Eh oui, votre chien a beau la lécher et re-lécher, les germes du type E. Coli, salmonelles et autres staphylocoques n’en restent pas moins présents.
Seule solution pour éviter toute contamination :
Peu importe que vous optiez pour des croquettes, de la nourriture humide ou une ration ménagère, votre mission reste la même : proposer un régime équilibré à votre compagnon. Renseignez-vous auprès de votre vétérinaire pour connaître ses besoins et lisez bien les étiquettes pour vous assurer de choisir une alimentation adaptée.
Certains chiens, par exemple, éprouvent des difficultés à digérer certains aliments, comme le blé ou le maïs. Dans ce cas, une alimentation sans gluten ou sans céréales pourrait lui être bénéfique.
Vous avez un doute ? Les experts Tom&Co peuvent vous conseiller dans votre magasin préféré.
On ne le répètera jamais assez : changer la nourriture de son chien (ou de n’importe lequel de ses animaux) ne se fait pas du jour au lendemain ! Commencez par ajouter le nouvel aliment à l’ancien par petites touches, en augmentant progressivement la dose sur 2 ou 3 semaines. L’estomac et les intestins de votre compagnon auront ainsi le temps de s’adapter au changement de régime.